Voici quelques semaines déjà que Basquette a eu ses petits. Et vous aurez remarqué qu'on ne les voit pas beaucoup sur ce blog, en tout cas moins que ceux de Blanchette.
La raison ?
...ben c'est que Basquette est vachement plus impressionnante et surtout plus protectrice.
Alors pour l'approcher ? Il faut être fin stratège, mais ça ne marche pas longtemps.
Du temps qu'elle ne vous a pas repéré, tout va bien
Mais dès qu'elle entend un bruit suspect (ce qu'on ne manque pas de faire en repoussant la couleuvre qui s'enroule autour de la jambe), Basquette se lève d'un bond en poussant des grognements pour effrayer le prédateur potentiel. Et pour elle, le prédateur potentiel, ce n'est pas la couleuvre qui s'en va toute penaude rejoindre les hautes herbes d'où elle n’aurait jamais du sortir si elle avait su la force avec laquelle vous alliez la repousser, non, le prédateur, c'est vous, avec vos petites basquettes et votre appareil photo, vous, si petit soudain que vous souhaiteriez vous faire couleuvre, même penaude.
Basquette s'avance alors vers vous de son pas lourd et plein de menaces
Et effectue, façon "all blacks", une petite danse d'intimidation
Et là pour le coup, même si elle vous tourne le dos, vous n'avez pas, mais alors vraiment pas, envie de rentrer dans le parc pour faire des grattouilles aux petits !
Une ferme bio entre bettes et bêtes Maraîchage sur buttes permanentes sans travail du sol
mercredi 31 août 2011
Camouflage raté
Dans le fossé en bas du terrain, une plante tente de se camoufler derrière une grenouille...mais en œil averti, nous ne sommes pas dupes !
Chronique la grande rivière, semaine 35
(cliquez sur le titre et atterrissez sur le site des croqueurs de légumes, l'une de nos amaps du mans)
mardi 30 août 2011
Une matinée à la ferme
On le savait qu'ils allaient venir, nos amis parisiens...Alors pour eux, on a sorti la grosse artillerie, notre plus gros matériel, une machine de grandes cultures...Notre récolteuse !
Eux qui s’imaginaient entendre le chant du croc au loin dans la parcelle, ils allaient être bien surpris!
Et tandis qu’Hugo, un an, tentait de rentrer en communication avec le tracteur en lançant des "hou-hou" interrogateurs, sa maman, que nous appellerons Chantal pour plus de discrétion, prenait place sur le siège inconfortable de la récolteuse..
Je dis inconfortable car conçue à l'époque où le travail des enfants était autorisé, car un adulte digne de ce nom ne peut s'y asseoir normalement avec les jambes pliées à l'avant. Non, là il faut se mettre de travers, se contorsionner, et surtout trouver la position la moins inconfortable possible car une fois assis, impossible de bouger.(et là, tu souris Chantal, mais je devine le pincement des dents sur tes lèvres pour ne pas laisser sortir un cri de douleur ! Ou alors tu as de plus petites jambes que ce que j'avais cru ?)
Bref, aujourd'hui, c'était récolte d'oignons.
Enfin du moins c'était ce que c'était sensé être, avant de soupeser que nous récoltions autant de cailloux que d’oignons (mais ça on le savait et devinez ce que nous avions prévu à l'arrière ? un pallox à cailloux !) mais surtout qu'il fallait passer encore quelque heures à modifier la machine afin qu'elle ne décapite pas les beaux oignons que nous avions regardé grandir avec amour depuis mars.
Bon on a quand même fait une bonne longueur, autant pour se dire que nous n'avions pas dépoussiéré la machine pour rien mais aussi et peut-être surtout parce que Chantal ne voulait pas retourner en région parisienne où l'attendent impatiemment des collègues et un patron...Alors une récolte d'oignons, vous pensez bien ! Un bon prétexte pour faire durer le plaisir d’être là, à la campagne, sous un soleil de fin d'été...
Il a quand même bien fallut qu'ils reprennent la route, nos amis parisiens. Non sans avoir extirpé de la bouche d'Hugo la coccinelle qu'il tentait d'avaler, sans doute parce qu'il la trouvait plus jolie et plus appétissante que tous les plus beaux oignons du monde.
Et depuis ce temps là, on entend le chant du croc au loin dans la parcelle...
Eux qui s’imaginaient entendre le chant du croc au loin dans la parcelle, ils allaient être bien surpris!
Et tandis qu’Hugo, un an, tentait de rentrer en communication avec le tracteur en lançant des "hou-hou" interrogateurs, sa maman, que nous appellerons Chantal pour plus de discrétion, prenait place sur le siège inconfortable de la récolteuse..
Je dis inconfortable car conçue à l'époque où le travail des enfants était autorisé, car un adulte digne de ce nom ne peut s'y asseoir normalement avec les jambes pliées à l'avant. Non, là il faut se mettre de travers, se contorsionner, et surtout trouver la position la moins inconfortable possible car une fois assis, impossible de bouger.(et là, tu souris Chantal, mais je devine le pincement des dents sur tes lèvres pour ne pas laisser sortir un cri de douleur ! Ou alors tu as de plus petites jambes que ce que j'avais cru ?)
Bref, aujourd'hui, c'était récolte d'oignons.
Enfin du moins c'était ce que c'était sensé être, avant de soupeser que nous récoltions autant de cailloux que d’oignons (mais ça on le savait et devinez ce que nous avions prévu à l'arrière ? un pallox à cailloux !) mais surtout qu'il fallait passer encore quelque heures à modifier la machine afin qu'elle ne décapite pas les beaux oignons que nous avions regardé grandir avec amour depuis mars.
Bon on a quand même fait une bonne longueur, autant pour se dire que nous n'avions pas dépoussiéré la machine pour rien mais aussi et peut-être surtout parce que Chantal ne voulait pas retourner en région parisienne où l'attendent impatiemment des collègues et un patron...Alors une récolte d'oignons, vous pensez bien ! Un bon prétexte pour faire durer le plaisir d’être là, à la campagne, sous un soleil de fin d'été...
Il a quand même bien fallut qu'ils reprennent la route, nos amis parisiens. Non sans avoir extirpé de la bouche d'Hugo la coccinelle qu'il tentait d'avaler, sans doute parce qu'il la trouvait plus jolie et plus appétissante que tous les plus beaux oignons du monde.
Et depuis ce temps là, on entend le chant du croc au loin dans la parcelle...
lundi 29 août 2011
cache cache
Un animal se cache sur cette photo...
Sauras-tu le reconnaître ?
samedi 27 août 2011
panier du jour
Malgré la fraîcheur qui nous ferait presque croire à l'automne, les paniers sont encore à l’heure d'été !
"j'avais l'impression d'être un père noel !" dixit Chantal alors qu'elle préparait les paniers de l'amap vendredi. Alors on en profite...parce qu'aujourd'hui le vent était soudainement plus froid et qu'il nous a fallut ressortir les pulls de l'armoire.mercredi 24 août 2011
mardi 23 août 2011
chronique de la grande rivière, semaine 34
avec la lettre hebdomadaire envoyée aux adhérents
(cliquer sur le titre)
(cliquer sur le titre)
dimanche 21 août 2011
"Demain, dès l'aube,
à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends...
Car cochon du matin
a rarement le ventre plein "
(poème local, et même très très local)
Quelques minutes plus tard, comme ultime récompense pour avoir échappé à l’appétit féroce des cochons : lever de soleil !
Et pour le soir, peinture agricole...
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends...
Car cochon du matin
a rarement le ventre plein "
(poème local, et même très très local)
(La bande à Dédé : 'donne pas très envie de rentrer dans le parc...m'enfin, 'faut bien ?!)
Quelques minutes plus tard, comme ultime récompense pour avoir échappé à l’appétit féroce des cochons : lever de soleil !
Et pour le soir, peinture agricole...
un escargot tout chaud
On se disait qu'on ne voyait plus trop d'escargot, mais hier, en bricolant sur le semoir, bien caché au creux d'un trou, j'ai trouvé...
samedi 20 août 2011
LE test d'aptitude à être amapien
Monotone la vie d'un adhérent d'Amap ?
Avec nous, ils ont un peu l'habitude de trouver des légumes bizarres dans les paniers
et cette semaine, c'était dégustation de ...
Avec nous, ils ont un peu l'habitude de trouver des légumes bizarres dans les paniers
et cette semaine, c'était dégustation de ...
Hum hum...comment dire...
de....c'est joli en tous cas !
On dirait du...mais non
Bon il a fallut qu'on les aide quand même...un peu ! (si, si !)
Mais oui mais c'est bien sûr du...
Araignée du soir..
J'aime bien les araignées... Mais difficile de cohabiter lorsqu'elles tissent leur toile dans les éléments du semoir !
vendredi 19 août 2011
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