http://moutonbiobassee.blogspot.com/
Une ferme bio entre bettes et bêtes Maraîchage sur buttes permanentes sans travail du sol
jeudi 30 mai 2013
mercredi 29 mai 2013
C'est (presque) de saison, semaine 22
Parce qu'il avait eu l'idée saugrenue de se faire passer pour un sapin, le pied de bette se fit promptement enguirlander !
Damien n'eut plus alors qu'à décorer la serre avec de jolies ficelles bleues, puis ralluma la cuisinière à bois afin que le Père Noël, lorsqu'il descendrait dans la cheminée avec le soleil dans sa hotte, n'y voit que du feu...
Mais ce que l'on n'a jamais dit dans cette histoire, c'est que le Père Noël est TRÈS gourmand : lorsque tout le monde est couché et que chacun l'imagine déposer des cadeaux au pied du sapin, il avale goulument les restes du repas du réveillon que par paresse ou fatigue vous aviez laissés traîner...
Alors cette semaine, parce qu'on a vraiment besoin qu'il vienne avec le soleil dans sa hotte, ne cédez pas à la tentation habituelle de lécher votre assiette et si vous n'y parvenez pas, ayez au moins la gentillesse de régurgiter une ou deux bouchées du bon petit repas que vous aurez concocté avec :
des radis avec leurs feuilles qui se mangent
des navets avec leurs feuilles qui se mangent
des pommes de terre
de la betterave
des fèves avec leurs cosses qui se mangent
(contenu susceptible de modification suivant récolte et stock)
Le Père Noël vous remercie (parce qu'un an entre deux repas même s'ils sont pantagruéliques, ça fait long), et nous aussi (parce qu'un an entre deux éclaircies, ça fait long également !)
a demain
isabelle
Damien n'eut plus alors qu'à décorer la serre avec de jolies ficelles bleues, puis ralluma la cuisinière à bois afin que le Père Noël, lorsqu'il descendrait dans la cheminée avec le soleil dans sa hotte, n'y voit que du feu...
Mais ce que l'on n'a jamais dit dans cette histoire, c'est que le Père Noël est TRÈS gourmand : lorsque tout le monde est couché et que chacun l'imagine déposer des cadeaux au pied du sapin, il avale goulument les restes du repas du réveillon que par paresse ou fatigue vous aviez laissés traîner...
Alors cette semaine, parce qu'on a vraiment besoin qu'il vienne avec le soleil dans sa hotte, ne cédez pas à la tentation habituelle de lécher votre assiette et si vous n'y parvenez pas, ayez au moins la gentillesse de régurgiter une ou deux bouchées du bon petit repas que vous aurez concocté avec :
des radis avec leurs feuilles qui se mangent
des navets avec leurs feuilles qui se mangent
des pommes de terre
de la betterave
des fèves avec leurs cosses qui se mangent
(contenu susceptible de modification suivant récolte et stock)
Le Père Noël vous remercie (parce qu'un an entre deux repas même s'ils sont pantagruéliques, ça fait long), et nous aussi (parce qu'un an entre deux éclaircies, ça fait long également !)
a demain
isabelle
lundi 27 mai 2013
La ferme, en quelques photos
Puisque le soleil est là aujourd'hui, faisons comme s'il n'allait pas pleuvoir demain !
Et parce que ça fait longtemps, quelques images des cultures.
Sous serre, les courgettes seront bientôt prêtes (et sur les bords, pommes de terre nouvelles)
Le chou bat en retraite devant l'avancée inexorable des tomates
Et là je suis d'accord, on ne reconnait rien parce qu'il y a un peu de tout : des haricots,des aubergines et des poivrons qui n'attendent qu'un peu de chaleur pour déployer leurs feuilles, des tomates, du chou rave, du fenouil, des oignons, une première série de concombres (qui végète et que nous allons remplacer)
Dehors, les oignons de conservation ne se portent pas trop mal
Est ce l'effet de l'association avec la Capucine ?
Notre ail est magnifique (enfin, à nos yeux)
Presque aussi magnifique que Gaïa (parce qu'elle est quand même drôlement belle, non ?)
Voici les pommes de terre nouvelles, deuxième série
les navets nouveaux qui vont arriver normalement à partir de cette semaine
Mais il faudra patienter encore un peu pour le fenouil
Le chou rave
et les choux fleurs !
Bien entendu, tout ne marche pas comme nous le souhaitons :
les petits pois végètent et n'offriront qu'une maigre récolte, les pommes de terre de conservation se font dévorer par les limaces et les fourmis (bon, si c'est pas trop, ça ira quand même), et Damien estime que nous avons perdu 1/3 des courges avec le gel de ces derniers temps (mais bon, si c'est pas plus, ça ira aussi)
Nous sommes pour l'instant très satisfaits de notre nouvelle manière de travailler (en buttes, avec paillage). Nous effectuons quelques essais avec une variété de trèfle rampant
ici par exemple sur céléri rave ( les petits points verts ne sont pas des mauvaises herbes !)
et courgettes
Ce début d'année n'est pas extraordinaire d'un point de vue climatique mais rappelez vous l'année dernière à la même époque : nous étions complètement démotivés devant la pluie, le froid et l'impossibilité de mettre en culture ! Rien n'est jamais acquis mais nous pensons tenir enfin le bon bout...Un grand merci à vous tous donc de nous avoir soutenu et de nous soutenir encore !
Damien et Isabelle
Et parce que ça fait longtemps, quelques images des cultures.
Sous serre, les courgettes seront bientôt prêtes (et sur les bords, pommes de terre nouvelles)
Le chou bat en retraite devant l'avancée inexorable des tomates
Et là je suis d'accord, on ne reconnait rien parce qu'il y a un peu de tout : des haricots,des aubergines et des poivrons qui n'attendent qu'un peu de chaleur pour déployer leurs feuilles, des tomates, du chou rave, du fenouil, des oignons, une première série de concombres (qui végète et que nous allons remplacer)
Dehors, les oignons de conservation ne se portent pas trop mal
Est ce l'effet de l'association avec la Capucine ?
Notre ail est magnifique (enfin, à nos yeux)
Presque aussi magnifique que Gaïa (parce qu'elle est quand même drôlement belle, non ?)
Voici les pommes de terre nouvelles, deuxième série
les navets nouveaux qui vont arriver normalement à partir de cette semaine
Mais il faudra patienter encore un peu pour le fenouil
Le chou rave
et les choux fleurs !
Bien entendu, tout ne marche pas comme nous le souhaitons :
les petits pois végètent et n'offriront qu'une maigre récolte, les pommes de terre de conservation se font dévorer par les limaces et les fourmis (bon, si c'est pas trop, ça ira quand même), et Damien estime que nous avons perdu 1/3 des courges avec le gel de ces derniers temps (mais bon, si c'est pas plus, ça ira aussi)
Nous sommes pour l'instant très satisfaits de notre nouvelle manière de travailler (en buttes, avec paillage). Nous effectuons quelques essais avec une variété de trèfle rampant
ici par exemple sur céléri rave ( les petits points verts ne sont pas des mauvaises herbes !)
et courgettes
Ce début d'année n'est pas extraordinaire d'un point de vue climatique mais rappelez vous l'année dernière à la même époque : nous étions complètement démotivés devant la pluie, le froid et l'impossibilité de mettre en culture ! Rien n'est jamais acquis mais nous pensons tenir enfin le bon bout...Un grand merci à vous tous donc de nous avoir soutenu et de nous soutenir encore !
Damien et Isabelle
samedi 25 mai 2013
jeudi 23 mai 2013
Le panier de la semaine 21
Fèves
Pomme de terre
Betteraves (de conservation, alors faites les plutôt cuites !)
Carottes (idem que les betteraves)
Radis
choux ou bettes suivant la récolte !
(contenu susceptible de modification suivant récolte et stock)
Courage, le printemps est à l'image de Gaïa : il fait un peu la tronche mais c'est lui, c'est sûr !
Pomme de terre
Betteraves (de conservation, alors faites les plutôt cuites !)
Carottes (idem que les betteraves)
Radis
choux ou bettes suivant la récolte !
(contenu susceptible de modification suivant récolte et stock)
Courage, le printemps est à l'image de Gaïa : il fait un peu la tronche mais c'est lui, c'est sûr !
Des nouvelles de la ferme dès que possible !
isabelle
isabelle
dimanche 19 mai 2013
jeudi 16 mai 2013
Les fruits et légumes trop chers ? Solution pour diminuer le prix de revient...l'esclavage
En Grèce, les fraises se paient le prix du sang
Par Effy Tselikas (24 avril 2013)(http://www.bastamag.net/article3058.html)
Dans la région de
Manolada, en Grèce, des exploitants agricoles ont ouvert le feu, le 17
avril, sur les travailleurs migrants venus réclamer leur paie. Trente
d’entre eux ont été blessés. Corvéables à merci dans ces zones de non
droit, ils n’avaient pas été payés depuis six mois. Ou comment, en 2013,
des esclavagistes modernes sévissent en toute impunité en Europe.
Récit.
Pour qui se promène à
Athènes ces jours-ci, le printemps ensoleillé offre de débordants
étalages de fruits. Et, en premier lieu, de belles fraises rouges et
juteuses à quelques euros le kilo. Elles viennent toutes d’une même
région du Péloponnèse, Nea Manolada, où elles sont cultivées sous serre.
Ces fraises sont désormais tachées de sang.
Plus d’une trentaine d’ouvriers agricoles, tous immigrés, ont été blessés lors d’incidents survenus le 17 avril au soir. N’en pouvant plus, après plus de 6 mois sans être payés, 200 Bangladais sont venus réclamer leur argent au propriétaire des champs de fraises qui les emploie au noir.
Reçus par trois contremaîtres, ceux-ci les ont d’abord rembarrés, les menaçant de prendre d’autres travailleurs à leur place. Puis, devant le refus des travailleurs migrants de battre en retraite, les contremaitres ont ouvert le feu : à la carabine, ils ont tiré, poursuivant leurs cibles à travers champs. Bilan de la fusillade : une trentaine de blessés admis en urgence dans les hôpitaux de la région, certains dans un état critique. Un des trois hommes, ainsi que le propriétaire, ont depuis été arrêtés.
Logés dans des serres rapiécées, battues par le vent et aspergées de pesticides
La fusillade de Nea Manolada vient violemment rappeler ce qui se joue dans cette région de Grèce. Plus de 2000 personnes, pour la plupart sans-papiers, travaillent dans les propriétés agricoles toute l’année, en dehors de toute légalité : quatre mois pour la saison des fraises, puis les patates, ensuite les vendanges… Plus de 10 heures par jour, 7 jours sur 7, pour une promesse de 20 euros par jour.
Corvéables à merci, sans protection sociale, invisibles aux yeux des autorités locales, ils vivent dans des conditions d’un autre siècle. Entassés à plus de trente dans de vieilles serres rapiécées, battues par le vent, ils sont à la merci du froid en hiver et de la chaleur en été. Ils dorment à même la terre battue, se lavent au jet d’eau froide et boivent l’eau des citernes.
Ces « logements » au milieu des champs, aspergés régulièrement
d’engrais et de pesticides, sont loués aux travailleurs migrants au prix
fort par leur employeur. Quant aux denrées qu’ils cuisinent sur des
feux de fortune, ils sont forcés de les acheter dans une petite épicerie
où tout est cher, et de moindre qualité.
Les Albanais sont partis
C’est un aspect nouveau de la crise en Grèce. Les migrants originaires des Balkans, installés depuis vingt ans, Albanais pour la plupart, sont repartis, faute de pouvoir régulariser leur situation en Grèce. Les nouvelles lois conditionnent les permis de séjour à un certain nombre de jours de travail déclarés. Très vite, ils ont été remplacés par un flux continu de clandestins venant cette fois d’Asie ou d’Afrique, via la Turquie. Soit par la frontière terrestre de l’Evros, soit par les îles proches.
Dans la région, ces exploitations agricoles sont de véritables zones de non droit. Toutes les autorités locales ou gouvernementales ferment les yeux. Et les quelques incursions de journalistes se sont terminées, elles aussi, à l’hôpital. Une véritable économie souterraine et mafieuse s’est installée. A la manœuvre, des patrons grecs qui ressemblent de plus en plus à des latifundiaires, escortés de « bravoi » ou de « pistoleroi » chargés de surveiller, souvent fusil au poing, cette masse de quasi-esclaves.
« Fraises de sang »
En Grèce, d’autres régions ou secteurs économiques sont devenus totalement dépendants de ce dumping social poussé à l’extrême, au détriment d’une cohorte de pauvres hères : la plaine de Marathon et ses cultures maraichères cultivées par les Pakistanais, les fermes marines et leurs employés indiens, la pêche et ses marins égyptiens,… Ce n’est pas sans rappeler ce qui se passe d’autres régions d’Europe du Sud, en Italie ou en Espagne. Mais quand plus un sou ne rentre, la colère finit par éclater.
Cet énième épisode, plus dramatique que les précédents, a été relayé par les médias étrangers, obligeant la presse grecque à ne pas le minimiser, comme elle le fait d’habitude. Les autorités ont réagi par les mêmes promesses récurrentes, jamais tenues par le passé. La société civile a été plus prompte à s’indigner. Un appel au boycott des fraises de Manolada a ainsi été lancé sur les réseaux sociaux, via les hashtags #bloodstrawberries ("les fraises de sang") et #Manolada, sur Twitter.
Déjà dûment tancé par le Commissaire aux droits de l’Homme du Conseil de l’Europe, dans son récent rapport, pour son laxisme vis-à-vis du parti néo-nazi de l’Aube dorée et ses ratonnades anti-immigrés menées en toute impunité, le gouvernement grec pourra-t-il continuer à laisser aller à vau-l’eau une politique migratoire incohérente, devenue une véritable bombe à retardement ?
Effy Tselikas
Photo : Source
Article initialement publié par MyEurop, le 18 avril 2013.
Plus d’une trentaine d’ouvriers agricoles, tous immigrés, ont été blessés lors d’incidents survenus le 17 avril au soir. N’en pouvant plus, après plus de 6 mois sans être payés, 200 Bangladais sont venus réclamer leur argent au propriétaire des champs de fraises qui les emploie au noir.
Reçus par trois contremaîtres, ceux-ci les ont d’abord rembarrés, les menaçant de prendre d’autres travailleurs à leur place. Puis, devant le refus des travailleurs migrants de battre en retraite, les contremaitres ont ouvert le feu : à la carabine, ils ont tiré, poursuivant leurs cibles à travers champs. Bilan de la fusillade : une trentaine de blessés admis en urgence dans les hôpitaux de la région, certains dans un état critique. Un des trois hommes, ainsi que le propriétaire, ont depuis été arrêtés.
Logés dans des serres rapiécées, battues par le vent et aspergées de pesticides
La fusillade de Nea Manolada vient violemment rappeler ce qui se joue dans cette région de Grèce. Plus de 2000 personnes, pour la plupart sans-papiers, travaillent dans les propriétés agricoles toute l’année, en dehors de toute légalité : quatre mois pour la saison des fraises, puis les patates, ensuite les vendanges… Plus de 10 heures par jour, 7 jours sur 7, pour une promesse de 20 euros par jour.
Corvéables à merci, sans protection sociale, invisibles aux yeux des autorités locales, ils vivent dans des conditions d’un autre siècle. Entassés à plus de trente dans de vieilles serres rapiécées, battues par le vent, ils sont à la merci du froid en hiver et de la chaleur en été. Ils dorment à même la terre battue, se lavent au jet d’eau froide et boivent l’eau des citernes.
Les Albanais sont partis
C’est un aspect nouveau de la crise en Grèce. Les migrants originaires des Balkans, installés depuis vingt ans, Albanais pour la plupart, sont repartis, faute de pouvoir régulariser leur situation en Grèce. Les nouvelles lois conditionnent les permis de séjour à un certain nombre de jours de travail déclarés. Très vite, ils ont été remplacés par un flux continu de clandestins venant cette fois d’Asie ou d’Afrique, via la Turquie. Soit par la frontière terrestre de l’Evros, soit par les îles proches.
Dans la région, ces exploitations agricoles sont de véritables zones de non droit. Toutes les autorités locales ou gouvernementales ferment les yeux. Et les quelques incursions de journalistes se sont terminées, elles aussi, à l’hôpital. Une véritable économie souterraine et mafieuse s’est installée. A la manœuvre, des patrons grecs qui ressemblent de plus en plus à des latifundiaires, escortés de « bravoi » ou de « pistoleroi » chargés de surveiller, souvent fusil au poing, cette masse de quasi-esclaves.
« Fraises de sang »
En Grèce, d’autres régions ou secteurs économiques sont devenus totalement dépendants de ce dumping social poussé à l’extrême, au détriment d’une cohorte de pauvres hères : la plaine de Marathon et ses cultures maraichères cultivées par les Pakistanais, les fermes marines et leurs employés indiens, la pêche et ses marins égyptiens,… Ce n’est pas sans rappeler ce qui se passe d’autres régions d’Europe du Sud, en Italie ou en Espagne. Mais quand plus un sou ne rentre, la colère finit par éclater.
Cet énième épisode, plus dramatique que les précédents, a été relayé par les médias étrangers, obligeant la presse grecque à ne pas le minimiser, comme elle le fait d’habitude. Les autorités ont réagi par les mêmes promesses récurrentes, jamais tenues par le passé. La société civile a été plus prompte à s’indigner. Un appel au boycott des fraises de Manolada a ainsi été lancé sur les réseaux sociaux, via les hashtags #bloodstrawberries ("les fraises de sang") et #Manolada, sur Twitter.
Déjà dûment tancé par le Commissaire aux droits de l’Homme du Conseil de l’Europe, dans son récent rapport, pour son laxisme vis-à-vis du parti néo-nazi de l’Aube dorée et ses ratonnades anti-immigrés menées en toute impunité, le gouvernement grec pourra-t-il continuer à laisser aller à vau-l’eau une politique migratoire incohérente, devenue une véritable bombe à retardement ?
Effy Tselikas
Photo : Source
Article initialement publié par MyEurop, le 18 avril 2013.
mercredi 15 mai 2013
Chronique de la Grande Rivière, semaine 20
Petit aperçu de ces deux dernières semaines...en images !
Nous en avons profité pour
... exploiter des enfants
...promener les cochons
...Faire des buttes pour que Capucine ait une vue dégagée sur ce qui se passe à la ferme
...A semer, planter et regarder pousser les salades, betteraves, oignons, fenouils, panais, pommes de terre, courgettes, tomates, aubergines, haricots, poivrons...(liste non exhaustive)
et à planter les grandes absentes de l'année 2012 : les courges !
Nous en avons profité pour
... exploiter des enfants
...promener les cochons
...Faire des buttes pour que Capucine ait une vue dégagée sur ce qui se passe à la ferme
...Apprendre à Gaïa a se montrer polie en toute circonstance
...A semer, planter et regarder pousser les salades, betteraves, oignons, fenouils, panais, pommes de terre, courgettes, tomates, aubergines, haricots, poivrons...(liste non exhaustive)
et à planter les grandes absentes de l'année 2012 : les courges !
Bref, on a plutôt bien avancé, maintenant, y'a plus qu'à...faire un peu plus chaud !
En attendant, cette semaine, vous trouverez :
des pommes de terre, des carottes, des radis, les derniers épinards, du chou nouveau, des fèves suivant la récolte ! (liste susceptible de modification suivant récolte et stock)
alors à demain !
Isabelle
des pommes de terre, des carottes, des radis, les derniers épinards, du chou nouveau, des fèves suivant la récolte ! (liste susceptible de modification suivant récolte et stock)
alors à demain !
Isabelle
mardi 14 mai 2013
Les vacances à la ferme
dimanche 12 mai 2013
jeudi 9 mai 2013
mardi 7 mai 2013
lundi 6 mai 2013
dimanche 5 mai 2013
mercredi 1 mai 2013
Premier panier de mai...
...vous ravira le palais !
Petits radis tendrement roses
Epinards (profitez, profitez, car ils ne tarderont pas à monter !)
poireaux (qui montent, alors on les cueille tous... cependant, ne jetez pas la tige centrale, car elle se mange, ces poireaux ont dans les pattes un an de culture depuis le semis et c'est la partie la plus tendre !)
carottes (de conservation et des nouvelles avec les fanes, parce que qu'on a besoin de la place qu'elles occupent et que certaines se sont dit que faire des fleurs étaient une bien belle occupation, bref, elles montent à graines/ les fanes se mangent, regardez sur internet)
à voir suivant la récolte et donc peut-être pas dans toutes les amaps ou pas tous les paniers : bettes, choux pointus (idem que les carottes nouvelles)
betteraves (hum, oui, désolée... y'en reste !)
+ le petit pot de l'année qui vous donnera de la joie et du bonheur : j'ai nommée la....Cap....
...Oui ! la Capucine !
(oui, c'est le nom de notre merveilleuse chienne pour ceux qui ne le savent pas !)
A transplanter au jardin ou dans un pot. Elle est belle, et se mange (http://lesjardinsdepomone.skynetblogs.be/archive/2008/08/31/la-capucine-elle-se-mange-et-seduit.html)
Je n'ai pas encore fait le point du nombre de pots (parce que tout n'a pas germé), si jamais votre amap n'en a pas cette semaine, ce sera pour plus tard courant mai !
Si vous ne faites rien du petit pot ensuite, ramenez le nous.
Voilà, je crois que c'est à peu près tout.
rappel : pas de distribution la semaine prochaine (eh euh, non, on ne part pas en vacances...!)
a demain
Isabelle
Petits radis tendrement roses
Epinards (profitez, profitez, car ils ne tarderont pas à monter !)
poireaux (qui montent, alors on les cueille tous... cependant, ne jetez pas la tige centrale, car elle se mange, ces poireaux ont dans les pattes un an de culture depuis le semis et c'est la partie la plus tendre !)
carottes (de conservation et des nouvelles avec les fanes, parce que qu'on a besoin de la place qu'elles occupent et que certaines se sont dit que faire des fleurs étaient une bien belle occupation, bref, elles montent à graines/ les fanes se mangent, regardez sur internet)
à voir suivant la récolte et donc peut-être pas dans toutes les amaps ou pas tous les paniers : bettes, choux pointus (idem que les carottes nouvelles)
betteraves (hum, oui, désolée... y'en reste !)
+ le petit pot de l'année qui vous donnera de la joie et du bonheur : j'ai nommée la....Cap....
...Oui ! la Capucine !
(oui, c'est le nom de notre merveilleuse chienne pour ceux qui ne le savent pas !)
A transplanter au jardin ou dans un pot. Elle est belle, et se mange (http://lesjardinsdepomone.skynetblogs.be/archive/2008/08/31/la-capucine-elle-se-mange-et-seduit.html)
Je n'ai pas encore fait le point du nombre de pots (parce que tout n'a pas germé), si jamais votre amap n'en a pas cette semaine, ce sera pour plus tard courant mai !
Si vous ne faites rien du petit pot ensuite, ramenez le nous.
Voilà, je crois que c'est à peu près tout.
rappel : pas de distribution la semaine prochaine (eh euh, non, on ne part pas en vacances...!)
a demain
Isabelle
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