
Une réalisation de Ève Lamont. Pas de pays sans paysan adopte
le point de vue de cultivateurs et d’éleveurs du Québec, de l’Ouest
canadien, du Vermont (États-Unis) et de la France pour dénoncer les
dégâts que cause l’agriculture industrielle. Pensons ici à la pollution
et à la destruction des écosystèmes, sans compter la prolifération de
cultures d’OGM, qui fait peser une menace additionnelle sur la
biodiversité et l’autonomie des paysans. Pas de pays sans paysans
témoigne à la fois d’une implacable lucidité et d’un irrépressible
espoir. Un mouvement ralliant agriculteurs et consommateurs proclame
qu’il est possible et crucial de cultiver autrement. En Europe comme en
Amérique, des paysans proposent un autre vision de l’agriculture et
mettent en œuvre des pratiques soucieuses de l’environnement et de la
pérennité de l’agriculture.
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